Le contacté Vitko Novi

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Le contacté Vitko Novi

Vitko Novi s’appelle Vlado Kapetánovich Bulátovich et naît au Monténégro (ex-Yougoslavie). Il est le fils de Yoko Kapetánovich (originaire de Bosnie) et de Stoya Bulátovich. Sa date de naissance reste inconnue mais son baptême date du 13 Avril 1918. Durant son enfance, l’absence du père (qui ne résida jamais à la ferme familiale) l’obligea à aider sa mère.

En 1943, sa jeune sœur est amoureuse d’un ingénieur civil, membre du parti communiste (clandestin). Du coup, des Chetnitks (royalistes et nationalistes) surveillent sa famille et finissent par démasquer l’ingénieur. Vlado quittera le Monténégro quatre ans plus tard. Sa biographie est disponible sur son site hispanophone.

Contact

Sa compagne Mileva Perkovich et lui prennent la direction de l’Italie où ils travaillent dans une structure de la Croix Rouge. En 1948, ils émigrent au Pérou. Après une décennie de petits boulots, Vlado travaille dans une centrale hydro-électrique de 1958 à 1962. Elle se situe dans une région montagneuse au sein de la province Huaylas de la région Ancash.

Depuis 1960, il revendique un premier contact avec des Apus.

Interview

On présente une traduction française d’un extrait d’interview de Vitko Novi (on peut la trouver sur le Web francophone mais la source n’est pas connue). Novi anima des conférences (en espagnol) dont certaines sont publiées sur YouTube (mots-clés Vitko Novi).

Qui sont-ils?

« Ils vivent sur une planète qu’ils nomment Apu. Elle ne fait pas partie de notre galaxie et serait distante de la Terre de plusieurs millions d’années-lumière. »

À quoi ressemblent-ils ?

« Ils nous ressemblent, mais ils sont mieux proportionnés (physiquement). Certains mesurent plus de deux mètres et d’autres moins d’un mètre cinquante. »

Quand vos contacts débutèrent-ils ?

« C’était en 1960 ; je travaillais à la centrale hydroélectrique de Huallanca à Ancash, au Pérou en tant que technicien responsable de la production d’électricité. Une nuit, alors que j’étais de garde – c’était le 10 mars – l’éclairage s’est éteint sans raison apparente. Je suis sorti pour mettre en route le groupe électrogène. Mais à l’extérieur il y avait une lumière telle qu’on se serait cru en plein jour. Elle provenait d’une sorte de soucoupe posée sur l’étroite bande de terre qui séparait les deux rivières alimentant la centrale. Quiroz, le responsable de la sécurité m’a demandé de ne pas m’approcher. « Il faut les laisser faire (…) ; ce sont des êtres qui font beaucoup de bien dans les villages : ils guérissent les gens, font pleuvoir et viennent en aide aux plus démunis. » »

J’étais persuadé qu’ils faisaient partie de l’armée, car pour atteindre l’endroit où ils se trouvaient, il était nécessaire de franchir un enchevêtrement de lignes et de câbles électriques sous très haute tension. Je demandais néanmoins à Quiroz qui ils étaient et d’où ils venaient. À ma grande surprise, il me répondit : « Ce sont nos amis de la planète Apu ». Pensant qu’il était ivre, je lui ai ordonné de me laisser passer, et je me suis avancé à leur rencontre.

En m’approchant, j’ai découvert que le lumière venait d’un objet ovoïde, semblable à une grosse lentille, qui ne reposait pas directement sur la terre ferme mais semblait suspendu dans le vide à quelques centimètres du sol. Malgré son intensité, la lumière n’éblouissait pas. Elle était agréable et presque apaisante. En arrivant à proximité de l’objet, j’ai vu deux personnes qui avaient l’apparence d’êtres humains de race blanche. Ils étaient jeunes et souriants et portaient d’étranges tenues. Ils m’ont alors salué dans ma langue originelle : le serbe, ce qui m’a surpris mais pas convaincu de leur origine extraterrestre, car, après tout, de nombreux hommes et femmes sont capables de s’exprimer dans une autre langue que leur langue maternelle.

Je leur ai demandé pourquoi ils avaient provoqué une panne électrique dans la centrale, et c’est leur réponse qui m’a stupéfié. Ils m’ont simplement dit : « Mon ami, nous sommes venus ici depuis l’espace, et quand nous passons par cette galaxie, nous visitons la Terre, fraternellement. Nous ne sommes pas venus sur la Terre pour nuire à quiconque, mais pour aider nos frères terrestres, car nous ne vivons que pour aider les autres ! ». Pendant qu’ils me parlaient, j’ai observé leur machine et j’ai vu qu’elle reposait sur trois énormes faisceaux de lumière. Puis ils sont remontés à bord par une sorte d’escalier qui rejoignait la partie supérieure. L’escalier s’est ensuite rétracté en même temps que les faisceaux de lumière. Leur engin s’est alors silencieusement élevé à la verticale et a disparu de ma vue en une fraction de seconde.

Je suis resté immobile durant de longues minutes, comme frappé de stupeur, et puis j’ai fait demi-tour vers la centrale. À l’entrée, j’ai recroisé Quiroz.

« Écoutez, Quiroz, lui ai-je demandé, s’il vous plaît, pouvez-vous m’expliquer ? Qui a atterri là ? Que sont-ils venus faire ici ? Pensez-vous qu’ils puissent nous attirer des ennuis ? »

« Non, ne craignez rien (…), ils viennent d’un autre monde très lointain et ce sont des gens très bons. Ils se rendent souvent sur les hauteurs où les bergers amènent leurs troupeaux. Ils viennent pour les aider. »

Les explications de Quiroz n’ont fait qu’ajouter à ma confusion. J’essayais de me persuader que nous avions tous les deux été victimes d’hallucinations, et que des chercheurs travaillant pour l’armée nous avaient sans doute hypnotisés pour nous utiliser comme des cobayes. Mais au fond de moi, je savais bien qu’il y avait une autre explication… »

Les Apu

Des traditions péruviennes conservent le souvenir d’Apu, une ancienne divinité de la Montagne. Des Indiens Quechua affirment qu’une « colonie » Apu réside dans le district montagneux de Caraz (province de Huaylas). Un couple d’ufologues américains de l’Arizona, Jerry et Kathy Wills, affirment en avoir vu lors d’un de leurs multiples voyages au Pérou. Le contact aurait eu lieu sur le plateau de Marca Wasi près de la ville de San Pedro de Costa. A noter qu’on ne compte plus le nombre de locaux et de touristes qui prétendent la même chose. Enfin, un écrivain, Anton Ponce de Leon Paiva, est connu au Pérou pour son centre d’accueil aux déshérités. Depuis le milieu des années 70, il opère un nouveau centre appelé Samana Wasi où il enseigne la… philosophie. Il affirme que le contenu de son enseignement est « Apu ».

Selon lui, des milliers d’années plus tôt, des ancêtres Apu s’installèrent au Pérou, au Chili, au Mexique et même en Chine. Ce séjour dura quelques décennies. Ils contribuèrent aux géoglyphes de Nazca et à d’anciennes cités antiques (dont les actuelles Cuzco et Machu Picchu). De nos jours, ils reviennent car leur technologie leur permet d’éviter les effets secondaires de notre atmosphère sur leur organisme. La raison se résume à leur curiosité pour les ouvrages de leurs ancêtres sur notre planète. Autrement dit, l’archéologie serait loin d’avoir tout découvert au Pérou. Enfin, ils possèdent un profil de « secouristes » qui leur assure à la fois la sympathie et la discrétion de la population locale.

Conclusion

Le volume et la corrélation des témoignages ne garantissent pas l’authenticité mais c’est un bon début. Si un jour, cela est avéré, on soulignera que des populations locales du Pérou se comportaient de façon mature face à l’invraisemblable.